Grammaire

Il n'y a pas de féminin, parce que seuls peuvent être des imposteurs!

Je vous en remercie

Bonjour, Pour la féminisation des mots on peut revenir au Moyen Age et pourquoi pas à la pré histoire sachant qu'elle a été écrite par des hommes à travers un prisme d'homme et l'indispensable dose de testostérone. Oui, au Moyen Age certains mots féminins existaient qui ont été oblitérés par le patriarcat dominant qui a un mal(e) fou à les ressusciter! S'ils existent peut-être est-ce, en grande partie, à nous les filles, femmes, mères, soeurs d'arme et autres 'féministes' en tout genres, masculin inclus évidemment, de nous ressaisir de leur existence pour les re-rendre visibles, audibles et n'en déplaise aux vieux mâles rugissants, vivants!!!!!

Oh

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Bien qu’un tantinet désuet, j’aime bien « partant » dans le sens de « par conséquent »…

Impostière ? (bon je retire)

la légende raconte qu'il y a plus de traqueurs et pubs que de connecteurs logiques sur cette page. De plus certains de vos mots de liaisons sont affreux à voir, surtout si ils sont utilisés en début de phrases: "Du coup"; "comme"; "car"; etc.. Je ne conseille pas beaucoup ce site.

Inutile de chercher le féminin du mot imposteur puisqu'une Dame n'abusera bien sûr jamais de la confiance d'autrui ... Mais non, j'rigole!

Et n'est-il pas dommage de reprendre @Marie M à propos d'une coquille quand l'ensemble de l'article est intéressant et complexe ?

C'est une super (!) liste. Merci beaucoup :-).

Je ne sais pas si l'accord se fait ou non dans son cas, mais une chose est sûre : " l' " n'est ici certainement pas un pronom COD. "Que l'on" est une formule usuelle pour contourner l'homonymie avec "con". Si cela vous paraît invraisemblable cherchez sur le net les cas où l'on (vous voyez ici aussi pour éviter l'hiatus) utilise cet " l' ". Ce qui se rapporte aux enfants c'est le pronom relatif "que". Le problème avec cette phrase est que sa construction est complètement différente des exemples ici donnés.

Il n'existe pas de mouettes noires. Elles sont bicolores. Il faut donc écrire : des mouettes noir et blanc.

oui, faute, juste au dessus de l'exemple "vache noire"

J adore ces leçons.

"Du coup" affreux tic de langage que vous ne trouverez pas dans la liste des connecteurs logiques détaillés dans cet article! A fuir!

sah 2021 sera illustree par mon post

Bonsoir, Enfin qqun qui réfléchi de lui même... Merci en tout cas!

Est-ce que l'auteur de cet article, ainsi que les différents commentateurs, ont-ils jamais consulté le célèbre dictionnaire de référence Le Godefroy (10 volumes), pour le français du Moyen-Age qui contient pléthore de féminins anciens ? Le volume 4, page 566, mentionne "imposteresse" avec pour définition "celle qui commet des impostures" (cf https://micmap.org/dicfro/search/dictionnaire-godefroy/). Ce qui prône à tout crin la féminisation des termes de profession et autres feraient bien de consulter cet ouvrage plutôt que de chercher à réinventer la roue avec des horreurs comme "imposteure", qui plus est ne permet aucune différence phonétique... A la rigueur, imposteuse ou impostrice, mais merci de vous souvenir de l'ancien français qui comportait un grand nombre de terme féminins se terminant en "eresse", "oresse" ou "aresse".

Oui, le participe passé est précédé par le cod. (On croit avoir aimer qui? La réponse est un peu compliquée mais logique: l' est un pronom personnel mis pour "les enfants". Enfants dans ce cas est masculin pluriel. Aimé s'écrit donc "aimés". Bravo votre intuition est juste, elle mérite donc donc d'être évoluée en règle stable.

Féminiser un mot c'est rendre visible et audible le féminin et les femmes dans la langue parlée tous les jours. Je trouve qu'il est bien préférable d'utiliser autrice que auteure, et donc impostrice ou imposteuse qu'imposteure. Ainsi on entend réellement un mot autre que le masculin. Certes il faut que l'oreille s'y fasse, mais ça prouve bien que nous sommes trop habitué.e.s à cet absence du féminin dans le vocabulaire. Ainsi, à ceux et celles qui préfèrent auteure à autrice, j'ai envie de demander, vous viendrait-il à l'idée de dire que Marion Cotillard ou Catherine Deneuve sont des acteures ?

Oui pour le féminin : une «imposteure », comme pour une «auteure ». L’intérêt c’est que le mot, tel quel, est déjà familier à notre oreille. Il est donc inutile de créer des néologismes tels que « impostrice » ou « imposteuse » qui peuvent sembler assez rébarbatifs pour l’oreille.

Très intéressant mais n’est-il pas dommage d’écrire « exemples d’adjectifs coordonnées » .......avec une faute ???

Oui. Simple.

on pourrait aussi écrire imposteure...comme auteure...