Bravo pour ce travail. Passionnant à lire parce qu'étayé, riche de détails et finalement très vivant, presque contemporain. Quelle énergie et quel stratège malicieux et courageux que ce duc Guillaume. Merci de votre culture pédagogique partagée.

Alice, désignant une allée, demande à Humpty-Dumpty : -Et pourquoi l'appelle-t-on "alloinde" ? Réponse de Humpty-Dumpty : -On l'appelle "alloinde", voyez-vous bien, parce qu'elle s'allonge loin devant et loin derrière ! (Derrière le miroir)

idem que mes "camarades", certains mots sont vraiment incompréhensibles, dommage

Chef d'oeuvre à ne pas rater : voir la célèbre tapisserie de Bayeux. C'est superbe et émouvant

Même si le son n 'est pas correcte, il a le mérite d 'être fait. Moi j'apprends toujours quelque chose. C'est là l'objet du site. Continuez et merci

idem, "plâtre" est difficilement compréhensible - mais révisions intéressantes

Hélas, le même reproche que mes prédécesseurs .J'ai écrit ce que j'entendais et me suis même inquiétée sur un éventuel début de surdité. Ouf!!!

Il eût été bénéfique que madame robot ar-ti-cu-lât la prononciation des mots en respectant les syllabes aux sons ouverts (bêêê) ou fermés (bééé) ! 😉

La diction de la dame laisse effectivement à désirer...

Jeu injouable car on ne comprend pas le mot prononcé !

Sans aller aussi lin dans la détestation que Carleton, je dois dire que la diction des locuteurs laisse à désirer rendant la plupart des mots inaudibles et l'exercice totalement sans intérêt (ê).

Je ne sais s’il faut en rire ou en pleurer… J’ai beaucoup apprécié l’information linguistique avançant que l’accent circonflexe, ici ou là, avait valeur phonétique… alors que les bobos enregistrés - diction savonnée et glissante comme autant de pets sur une toile cirée, univoque et robotique, ne reflétant jamais la moindre incidence phonétique quel qu’ait pu être l’accent (circonflexe ou autre) - n’ont manifestement pas la moindre idée de ce qu’articuler et parler veut dire, et imaginent encore moins que leur manière très tendance de jacter dévoile, précisément, leur immense inculture générale, particulière, parallèle et perpendiculaire. J’ai décroché très rapidement : il est déjà assez chiant de se cogner ce genre d’individus où que l’on aille et quoi que l’on fasse au quotidien, pour les subir ici. J’en suis bien désolée, mais je suis devenue allergique à ce type d’ ectoplasmes.

L’articulation de la dame laisse vraiment à désirer. À moins que ce ne soit la prise de son

"L'animal seul, Monsieur, qu'Aristophane appelle hippocampéléphantocamélos, dut porter sur le front tant de chair sur tant d'os." (Edmond Rostand; Cyrano de Bergerac.)

une page d'histoire historique des plus fidelle ,tres beau travail !!! merci

Superbe description de cette épopée.Se lit avec grand plaisir.merci