Bel article qui contribue à rendre plus visible cette pionnière dont la vie, l'oeuvre et les valeurs dégagées parlent encore à notre temps. A signaler : - la mise en place d'un comité de la commémoration du bicentenaire de sa naissance avec comités associés (scientifique, marrainage/parrainage, etc.) à ce lien https://www.julievictoiredaubie.fr/about-1 - une année d'événements commémoratifs à ce lien https://www.julievictoiredaubie.fr/%C3%A9v%C3%A8nements sous le haut Patronage de la première puis du Premier Ministre - le tout en partenariat avec France Mémoire qui a inscrit ce bicentenaire au calendrier des commémorations nationales 2024 ': dossier à ce lien https://www.france-memoire.fr/dossiers/naissance-de-julie-victoire-daubie-premiere-bacheliere/ avec en bas de page web " regards d'aujourd'hui" donnant en ligne les actes du colloque "les combats juridiques de Julie Victoire Daubié" de la faculté de Droit Julie-victoire Daubié de Lyon membre active du comité d'organisation du bicentenaire. - 'l"émission d'un timbre Julie Victoire en avant première à la date symbolique du 8 mars dernier avec cachet premier jour à la Manufacture royale de Bains lieu de sa naissance (label maison des illustres) : à ce lien https://www.youtube.com/watch?v=SG8GPzq-CDI - une tribune volontairement factuelle dégageant les valeurs à s'approprier pour notre temps, tribune rédigée par le comité scientifique et cosignée par des personnalités notamment de l'éducation et des droits de femmes : à ce lien https://www.julievictoiredaubie.fr/about-4-1 - Je laisse Véronique André-Durupt descendante de la famille Daubié, membre du comité scientifique, omniprésente sur les ondes radio ce 26 mars anniversaire, donner les références de la biographie sourcée. C'est elle qui a signé les articles de France-Mémoire et du document philatélique. - la recherche de .... mécènes individuels ou entreprises (rescrit mécénat acquis pour réduction fiscale) pour boucler le budget de la commémoration ! Le comité d'organisation Christine DEVALLOIS, Présidente du Comité de Pilotage du Bicentenaire, Présidente de la Ligue de l’enseignement des Vosges, Vice-présidente du CIDFF Vosges – Centre d’Information des Droits des Femmes et des Familles ; Véronique ANDRÉ-DURUPT, association des Amis du Vieux Fontenoy, auteure de sa biographie sourcée ; Céline CADIEU-DUMONT, Directrice des Archives Départementales des Vosges, Présidente du Comité scientifique du bicentenaire ; Sabine LESUR, Journaliste ; Joseph KLEINPETER, Président de l'AAMRB – Association des Amis de la Manufacture Royale de Bains ; Sophie et Frédéric BOUVIER, Propriétaires de la Manufacture Royale de Bains

Cosinus, n'est pas une longueur mais un rapport ou un quotient.

Bonjour, Je ne suis pas tout à fait d'accord avec votre dernière phrase, relatif au "c'est pour quoi" qui serait fautif. Je prends un exemple dans le langage familier : Quelqu’un sonne à la porte et vous répondez : « C’est pour quoi ? » (autrement dit : « C’est à quel sujet ? » ou « C’est pour faire, pour dire quoi ? ») Cela signifie que vous désirez savoir quel est le but de la personne qui sonne à la porte.

Bonjour, je découvre dans Retronews ce nom de J-V Daubié au parcours admirable. J'ai découvert une autre femme Anne le Bastard de Mesmeur qui d'après la gazette de France (2 fevrier 1909 P.2) était à l'époque de sa mort en 1909 la doyenne des bachelières de France. Un diplôme qu'elle aurait passé vers 1834. S'agit t'il véritablement du même diplôme. Je cherche un éclairage là dessus. Merci

Ah ben !

Vacance est un poste vacant Vacances ce sont des temps d’arrêt de travail.

Vous devriez répéter cet article tous les jours. Vu le nombre de fois où on le voit mal écrit, la lutte n’est pas gagnée.

Adrian, Sacha _D, je ne resterai pas sur la touche! :)) J'ai, moi aussi fait mes recherches, au fond, vos articles, Adrian, servent aussi à nous stimuler pour nous améliorer, ou pas? Donc, je vais vous épater, et je suis désolée pour notre France, mais La première femme AU MONDE, non seulement bachelière, mais diplômée, et ce en 1678, et en philosophie, s'il vous plaît, est une italienne, Elena Comaro Piscopia née à Venise en l'an 1646 qui n'ayant pu se diplômer en Théologie, comme elle voulait, (à l'époque, rien d'étonnant!) se diplôma en Philosophie à l'Université de Padoue. Voilà, c'est dit et j'en passe et des meilleurs! Bonne fin d'après-midi. monique

Oui bien sûr, je plaisantais. J'en ai trouvé une autre : "Elizabeth Garret Anderson (1836 – 1870)" Elizabeth Garrett Anderson, 9 juin 1836 -17 décembre 1917, là, petite confusion avec la date d'obtention de son diplôme de médecine en 1870. Je suis particulièrement admiratif des femmes qui faisaient médecine à l'époque, comme ma tante au début des années 40 où c'était déjà plus courant malgré tout.

"l’impératrice Eugénie (1853 – 1920)" Eugénie de Montijo est née le 5 mai 1826 et non en 1853, et morte le 11 juillet 1920. Vous avez dû confondre avec l'année de son mariage avec Napoléon III le 29 janvier 1853. Comme quoi cette coquille prouve bien (inconsciemment) l'importance du mariage pour les femmes de cette époque !

Quand on pense que Socrate fut initié à la 'doctrine' qu'il devait transmettre, par Diotime, comme Pythagore par une prêtresse du temple de Delphes, Thémistoclée, et que les femmes Pythagoriciennes cultivaient leurs esprits aux spéculations les plus hautes sans aucunement faillir à leurs devoirs de mères et d'épouses. Quand on pense que les Matriarches de la Bible représentaient dans l'arbre des Sefirot le Discernement (Bina) en harmonie avec la Sagesse (Hokhma) des Patriarches. Et s'il a fallu attendre l'an 1861, en France pour que les femmes soient retenues à la hauteur afin de passer un baccalauréat ès lettres, et, et, c'est à en pleurer. monique