«Laisser-passer» ou «laissez-passer» : orthographe
« Laisser-passer » ou « laissez-passer » : orthographe
On écrit :
laissez-passer
Ce nom est composé de deux verbes, « laisser » à l’impératif et « passer ».
Il désigne un document administratif autorisant la circulation d’une personne (comme un sauf-conduit) ou de marchandises sur un territoire donné. L’ONU peut délivrer un laissez-passer comme document de voyage.
On a pu trouver la version « laisser-passer », mais elle n’est plus dans l’usage.
Exemples :
Il était onze heures du soir ; j’espérais avoir gagné mon procès et obtenu de Madame mon laissez-passer.
On te demandera qui tu es ; tu es employé au greffe des Carmes ; tu es venu parler au citoyen greffier du Palais ; tu lui as, par curiosité, demandé un laissez-passer pour voir les condamnés ; tu les as vus, tu es satisfait et tu t’en vas.
Pour cela, la loi a, notamment, doublé de 45 à 90 jours la durée maximale pendant laquelle ces personnes peuvent être placées en centre de rétention, dans l’attente d’un renvoi. Objectif : avoir plus de temps pour obtenir le « laissez-passer consulaire » rendant possible l’éloignement vers le pays de départ.
Le compte à rebours a commencé quand Donald Trump a donné le feu vert dimanche soir. Après une conversation téléphonique avec Erdogan, le président américain a annoncé dans un communiqué laconique un retrait de ses forces armées du nord-est syrien pour permettre une «opération militaire turque prévue de longue date». Un laissez-passer qui aurait même surpris Erdogan, tant il dépassait ses espérances. Les Turcs se sont mis immédiatement à accélérer les préparatifs militaires et politiques de leur offensive.
Voir ici la différence entre quinquagénaire et cinquantenaire.